Une campagne pour soutenir les victimes de cyber-harcèlement

Une campagne pour soutenir les victimes de cyber-harcèlement

La Caisse d’Epargne ouvre un nouveau chapitre de son histoire de marque. Cette nouvelle identité sera dévoilée le 6 juin, à l’occasion du lancement d’une campagne dédiée au cyber-harcèlement.

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Cette campagne nationale a été dévoilée le 6 juin, à l’occasion du lancement un nouveau chapitre de son histoire de marque. Cette dernière année a enregistré une recrudescence des contenus haineux en ligne : aujourd’hui le cyber-harcèlement touche 20 % des jeunes*.

Une situation qui impacte bien sûr les jeunes victimes qui ont parfois du mal à en parler, mais aussi leurs parents qui sont à leurs côtés. Et pour preuve : 79 % des parents estiment d’ailleurs qu’il serait utile que leur enfant puisse bénéficier d’un accompagnement psychologique en cas de cyber-harcèlement.

Face à ce phénomène de société qui prend malheureusement de l’ampleur, la Caisse d’Epargne a choisi de s’engager et de rappeler qu’en cas de cyber-harcèlement, des solutions peuvent être mises en place pour épauler les victimes et leurs familles.

« Le cyberharcèlement est un phénomène de société qui impacte de plus en plus de jeunes. Il est important que tous les acteurs qui le peuvent s’engagent pour essayer d’apporter leur aide : c’est ce que nous proposons de faire à notre échelle. Nous avons ainsi choisi d’intégrer une assistance psychologique en cas de cyber-harcèlement dans nos contrats d’assurance scolaire et santé » explique Christine Meyer-Forrler, directrice du Développement Caisse d’Epargne.

Cette assistance psychologique est activable via l’option assurance scolaire de l’assurance habitation ou via l’assurance santé proposées par la Caisse d’Epargne. Elle donne accès à un réseau de plus de 1 500 psychologues cliniciens partout sur le territoire, sans besoin de pièce justificative. Une fois l’assistance déclenchée, la prise en charge comprend jusqu’à cinq entretiens téléphoniques par bénéficiaire, et pour les mineurs jusqu’à trois entretiens en face à face.

La Caisse d’Epargne a choisi de lancer son nouveau territoire de marque autour de ce sujet sociétal majeur

La campagne publicitaire, réalisée par l’agence Altmann + Pacreau, se déploie autour d’un dispositif ambitieux : en juin et juillet, un film TV 30’’ réalisé par Will Hoffman et Julius Metoyer mettra en image le quotidien de jeunes victimes et la solution que propose la Caisse d’Epargne pour les soutenir. Ce film marque le début d’une nouvelle écriture : une mise en image d’un panorama de la société et la révélation d’un phénomène sociétal pour lequel Caisse d’Epargne se doit d’être encore plus utile. Cette nouvelle écriture est portée par une musique de marque trans-générationnelle et fédératrice : Everybody wants to rule the world du groupe Tears for Fears – réorchestrée par le groupe Joseph.

En complément, une campagne d’affichage urbain sera diffusée à partir du 16 juin. Sandra Mehl, photographe très expérimentée sur l’exercice du reportage, a capturé avec talent le trouble émotionnel ressenti par les cyber-harcelés. Pour sa première campagne publicitaire, elle signe ici deux visuels réalistes mais empreints de douceur.

La campagne sera également relayée via d’autres supports, des annonces presse en passant par les réseaux sociaux, sans oublier les canaux de la Caisse d’Epargne, et notamment son réseau d’agences.

« L’utilité s’est avérée une valeur centrale dans l’époque que nous traversons. Pour réaffirmer le leadership de la marque sur cette dimension et conserver une longueur d’avance, la Caisse d’Epargne a décidé d’accélérer pour être « encore plus utile ». Notamment avec de nouvelles preuves d’engagement sur des enjeux sociaux actuels. Mais aussi dans une nouvelle écriture publicitaire qui, en révélant une statistique, dresse un panorama de la vie de nombreux français » conclut Olivier Altmann, co-fondateur de l’agence Altmann + Pacreau.

* Source : Étude Audirep 2021