L’impact de Caisse d’Epargne aujourd’hui, c’est de permettre le développement dans le monde entier des exosquelettes d’hôpital. Et en même temps de lancer la commercialisation prochaine des exosquelettes grand public qui vont permettre à des millions de personnes de remarcher.
Les co-fondateurs de Wandercraft, Nicolas Simon et Jean-Louis Constanza sont deux ingénieurs qui ont eu l’idée d’utiliser la robotique la plus pointue pour aider un de leur proche à remarcher. Un frère pour l’un et un fils pour l’autre, tous deux atteints de la même maladie génétique.
Aujourd’hui, cet exosquelette est utilisé dans les hôpitaux pour accompagner les personnes qui ont eu un AVC ou une blessure à la moelle épinière. Auto-stabilisé, cet appareil permet de marcher de manière naturelle.
« Dans quelques années, il y aura des milliers de personnes dans la rue qui ne marchaient pas et qu’on ne voyait parfois pas et qui vont remarcher avec notre exosquelette. » s’enthousiasme Jean-Louis Constanza. Un objectif qui le motive à repousser plus loin les prouesses de la technologie pour permettre à des personnes à mobilité réduite de retrouver leur mobilité et de se déplacer librement.
La Caisse d’Epargne Loire Centre accompagne le développement de Wandercraft, grâce au soutien du dispositif Néo Business Caisse d’Epargne, dédié aux startups et aux entreprises innovantes.