Le réseau des Caisses d’Épargne est composé de 15 caisses régionales qui agissent de concert pour promouvoir leur territoire depuis plus de 200 ans. Oubliez l’image de l’écureuil, car depuis 1818, la banque se renouvelle et innove pour chacun. Un ADN coopératif qui transpire dans l’ensemble de ses actions.
L’innovation au service du client
Pour l’illustrer notre propos, rien de mieux que de regarder des actes et notamment ceux de la Caisse d’Épargne Hauts-de-France. En effet, La Caisse d’Épargne Hauts-de-France se qualifie comme « la banque des services digitaux les plus innovants », « leader global de l’immobilier régional », « banque des familles mais également des entreprises »… « Une banque qui ne s’interdit rien », selon les Philippe Lamblin (président du Comité d’orientation et de surveillance).
Vis-à-vis des jeunes, la banque a développé des services spécifiques (futurness), une plateforme digitale, et même un espace jeunes dédié dans la région lilloise (Mama Shelter ou l’immeuble ShaKe). Dans le domaine de l’entreprise, l’agence de Bruxelles progresse de 50 %…. Si ces chiffres peuvent inciter la banque à dormir sur ses lauriers, il n’en est rien. En effet, la Caisse d’Épargne Hauts-de-France surprend en se lançant aussi dans des domaines où on ne l’attend pas (accompagnement des agriculteurs, de l’écosystème de la santé, de l’ingénierie…).
L’ADN coopératif comme valeur fondamentale
La banque aux 400 000 sociétaires « copropriétaires » entend bien cultiver son image sociale et continue d’obéir à son ADN coopératif. Pour se faire, la Caisse d’Épargne Hauts-de-France accompagne les entreprises en procédures collectives via sa nouvelle Banque de l’Orme, offre des services spécifiques aux populations en fragilité financière (24 000 clients « Access on Line » ), aide 40 000 clients sous tutelle ou curatelle en distribuant 650 microcrédits l’an passé. Bref, s’il y a bien une chose que l’on ne renie pas chez l’écureuil… c’est son histoire.
