Vous avez coprésidé la commission RSE durant la mandature 2015-2021. Quel bilan pouvez-vous en dresser ?
Les travaux de cette fin de mandature ont été résolument tournés vers l’avenir. Accompagner la transition environne-mentale, dynamiser notre modèle coopératif, innover en matière d’inclusion sociale et construire une réelle adhésion de nos collaborateurs et de nos clients à notre marque constituent des axes forts des Orientations RSE et Coopératives 2022-2024, sur lesquelles la Commission s’est beaucoup investie.
Cette feuille de route collective est le résultat d’un travail de fond construit sur le bilan des précédentes Orientations, l’analyse de la performance extra-financière et de l’empreinte des Caisses d’Epargne (DPEF, matrice des risques…), mises en regard par rapport aux grands standards de la RSE, que ce soit l’ISO 26 000 ou les ODD (les Objectifs de Développement Durable). Les Caisses d’Epargne possèdent des fondamentaux et de réels atouts, étant donné leur statut de banques coopératives régionales et leur engagement historique en faveur de la cohésion des territoires.
« Les Caisses d’Epargne possèdent de réels atouts, étant donné leur statut de banques coopératives régionales. »
Ce sont ces atouts que la Commission a veillé à mettre en valeur tout au long de son mandat, en faisant en sorte par exemple de doter les Caisses d’Epargne d’une raison d’être, qui soit à la fois le reflet de ce qu’elles sont et de ce qu’elles souhaitent continuer d’incarner. La Commission s’est mobilisée pour que la RSE fasse l’objet de plans d’actions, d’indicateurs et d’un pilotage qui soit à la hauteur des enjeux qu’elle cherche à adresser. Beaucoup de résultats ont été obtenus, nul doute qu’ils seront amplifiés dans les années à venir.