Engagée pour la biodiversité

Engagée pour la biodiversité
  • Publiée le 15 septembre 2021
  • CEPAC

À l’occasion du Congrès mondial de la Nature à Marseille, la Caisse d’Epargne CEPAC a réaffirmé son engagement en faveur de la préservation de l’environnement et de la biodiversité. Devant bon nombre d’institutions, d’associations et d’acteurs engagés, la banque coopérative a mis en lumière les missions et projets de l’un de ses partenaires : La Tour du Valat.

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Agir pour conserver les zones humides méditerranéennes

Véritable précurseur sur ce type de sujet, La Tour du Valat, implantée sur le territoire de la région Provence, mène depuis plus de 60 ans des actions de recherche et d’études pour la conservation des zones humides méditerranéennes.

Pour le directeur de l’institut de recherche et de l’UICN, Jean Jalbert, « l’écosystème qui contribue le plus au développement de l’humanité est le plus menacé de la planète ». Pour lui, il est nécessaire de réconcilier l’humain et la nature. Afin de réussir cette mission ô combien difficile, « il est nécessaire de mobiliser les acteurs économiques qui sont clairement une partie de la solution. Il est impératif qu’on soit capables de dialoguer, de comprendre les enjeux et d’agir ensemble ». Une volonté partagée avec la CEPAC qui s’investit durablement sur ces sujets auprès de ses partenaires.

La CEPAC : la banque coopérative des énergies renouvelables

Selon Joël Chassard, Président du Directoire de la CEPAC, le lien entre les banques et la biodiversité n’est pas impossible à faire. En effet, « les Caisses d’Epargne ont des valeurs génétiques, elles ont été créées pour accompagner et anticiper les évolutions sociétales. Le réchauffement climatique fait partie intégrante de ces enjeux, y compris la protection de la biodiversité ».

Placée parmi les cinq premiers financeurs des énergies renouvelables en France, la Caisse d’Epargne CEPAC compte aujourd’hui aller plus loin et soutenir davantage les projets innovants : la préservation de l’environnement et de la biodiversité. « Nous devons élever notre combat pour la biodiversité au même niveau que nos engagements climatiques, maintient Joël Chassard. Quand les indicateurs relatifs à la biodiversité seront plus clairs et standardisés, les choses vont s’accélérer. Je reste très optimiste pour la suite ».

L’année dernière, la CEPAC comptait 1,6 milliard d’euros d’encours de financement des principaux projets de transition énergétique sur les territoires.